IMAGINAIRE & INCONSCIENT- La revue


Études psychothérapiques reparaît avec un nouvel éditeur sous le titre Imaginaire & Inconscient.

Le Comité de Rédaction, autour du GIREP, s’est enrichi d’autres spécialistes de l’imaginaire, philosophes, artistes, écrivains… pour une revue largement consacrée à l’imaginaire avec l’apport spécifique des psychanalystes Rêve-Éveillé.

La ligne éditoriale trouve ainsi une continuité chez un éditeur spécialisé dans le domaine de la psychologie, de la psychiatrie, de la psychanalyse, l’Esprit du Temps, éditeur de grandes revues comme Topique, Adolescence, Champ Psy ou Études sur la mort, avec une diffusion spécialisée par les Presses Universitaires de France, et une distribution U.D. Flammarion.

Chaque numéro est centré sur un thème. C’est un lieu d’échange entre auteurs de formations et de pratiques diverses : psychanalystes, philosophes, psychiatres, psychologues, artistes, écrivains, spécialistes des sciences humaines.

Imaginaire & Inconscient est une publication des éditions L’Esprit du Temps, BP 107 – 33491 – LE BOUSCAT CEDEX – FRANCE Tél. : : 05 56 02 84 19 – Fax : 05 56 02 91 31. E-mail : espritemps@aol.com

En bref :

  • Le site de l’éditeur : L’esprit du temps.
  • Diffusion en librairie : Presses Universitaires de France.
  • Directeur de la publication : Philippe Brenot.
  • Rédacteur en chef : Fabienne Sardas.

 Infos pratiques

 

Imaginaire & Inconscient est en vente dans les librairies de sciences humaines et sur abonnement :

  • Deux numéros par an
  • Prix du numéro : 23,50 €
  • Prix de l’abonnement livre(2 numéros+ 2 livres offerts) : 47 € Étranger : 60 €
  • Prix de l’abonnement numérique (2 numéros) : 39 €
  • livre + numérique : 65€

2022/2 (n° 50)

À Venir

2022/1 (n° 49)

Des identités en tout genre

Editorial

Premières lignes

« Une identité n’existe que dans sa transformation »
Catherine Malabou, 2021
« Dans toutes les périodes d’émancipation politique, la psychanalyse s’est trouvée accusée, et a résisté en se modifiant, c’est-à-dire en modifiant aussi son rapport au savoir ».
Mathilde Girard, 2018

Désirs captifs, genres en transitions, corps étrangers à soi. La révélation de ces existences en mutation, sur le fil, aux abois, parfois à la dérive, nécessite de faire face à ces nouveaux patients qui demandent d’être soutenus face aux violences, aux agressions, et à l’exclusion qu’ils subissent…

         par Fabienne Sardas, Anne-Gaelle Ulloa, Clément Etienne-Raynal.

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2021/ 2(n° 48)

Onde de choc

Editorial

Premières lignes

1 Jamais sujet ne fut plus d’actualité que celui du choc, sujet trouvé créé avec la facilité que l’on trouve à ramasser l’objet qui sur le chemin tout à la fois attire l’œil et bloque le passage.

2 Pas un jour sans que la presse la radio ou la rumeur ne témoigne d’une catastrophe, les temps sont dures dit-on.
Certes par les temps qui courent le choc survenu de l’extérieur s’impose et l’on tente d’en mesurer l’impact, d’y penser vite et déjà alors qu’il a encore cours – histoire de ne pas en être trop submergé…

         par Sabine Fos-Falque.

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2021/1 (n° 47)

L’inquiétante étrangeté de l’image

Editorial

Premières lignes

L’image est bien un réel éprouvé, elle est notre lien à l’autre et au monde. Il en a toujours été ainsi car « l’image a le pouvoir de représenter, contenir et transformer » tout ce qui nous fait exister et nous environne.

Ainsi, le tout-petit a besoin pour supporter de naître, de lait et d’images. Si dépendant d’emblée de ce qui lui viendra de l’autre et de ce qu’il en fera. Le voilà assoiffé de visages autant que du précieux liquide qui restaure le corps entier et le propulse tout ragaillardi vers le monde du dehors…

 

         par Souad Ben Hamed et Fabienne Sardas.

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2020/ (n° 46)

Corps imaginaire, corps réel

Editorial

Premières lignes

Peut-être pendant plusieurs décennies, dans une société où tout est devenu possible sur le plan technique ou presque, avons-nous rêvé d’un corps svelte, beau, puissant… sans limites… jusqu’à ce que le virus du COVID vienne nous rappeler à une réalité, à nos limites.

2Aussi, ces derniers mois, au moment de la conception de la Revue pendant la crise du COVID, le corps réel a pris une place considérable et a réussi à bouleverser notre monde jusqu’à l’ordre de fonctionnement. Omniprésent, il a occupé le devant de la scène, sans que nous ayons pu imaginer cette éventualité : « Personne, il est vrai n’a jusqu’à présent déterminé ce que peut le corps » (Spinoza, Ethique (1677), Paris, Vrin (1983), p. 251)…

         par Jean-Marie de Sinéty, Agnès Hussmann.

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2020/1 (n° 45)

Vieillir Amor

Editorial

Premières lignes

Vieillir Amor : un titre avec lequel ont joué les auteurs. Amor, amour, à mort, jusqu’à la mort l’amour, vieillir-aimer-mourir…
Vieillir et croire ou éprouver qu’on ne peut plus aimer ni désirer, qu’on ne peut plus être aimé ni être désiré. Ne plus s’aimer soi-même en son vieillissement. Demeurer dans une attention centrée sur les blessures narcissiques de son vieillissement, corporelles et sociétales : le développement de ses impossibles et de la méconnaissance dont on est l’objet, voilà une foule de raisons de mal vieillir : dépression, nostalgie, hypocondrie, irritation, jalousie, assujettissement, persécution… et ce qui est le signe même de « l’âge venant », le sentiment de solitude, voire de désolation.

         par Nicole Fabre et Philippe Gutton Fabienne.

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2019/2 (n° 44)

Le vieillir en vie

Editorial

Premières lignes

Depuis quelques décennies le terme de « senior » est devenu banal et fréquent avec des sens différents selon qu’il est prononcé dans le cadre d’un club de sport, d’une entreprise, ou d’une démarche administrative. Différent encore lorsque dans la conversation ou dans un texte journalistique nous cherchons à désigner celui qui n’est plus jeune mais qu’on ne saurait dire vieux. Et lorsque nous voulons parler de ceux qui sont vraiment vieux, voilà que nous employons le mot « aîné ». Comme si le mot vieux, qu’il soit un adjectif ou, pire, un substantif, avait quelque chose de blessant, d’insultant, de méprisant, d’irrespectueux. À moins peut-être aussi qu’il ne fasse peur car derrière le terme il y a la réalité qui se profile : le temps de vie qui s’amenuise, la mort qui vient, cette mort qu’il serait indécent de mentionner par un langage non déguisé. En revanche, nombreuses sont les données scientifiques des médecins et sociologues ces « instruits incultes ». Nombreux les débats et décisions politiques et économiques…

        par Nicole FabrePhilippe Gutton.

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2019/1 (n° 43)

Cure, écriture et lecture

Editorial

Premières lignes

« La rencontre de l’énigme de l’amour et de l’énigme de la cure, communément appelée amour de transfert, si elle a bien lieu dans l’espace analytique, n’est pleinement officialisée que lorsque l’analyste passe à l’écriture et accepte de voir dans les mots qu’il écrit, la preuve des éprouvés liés à son dialogue intérieur en situation. »
Jean-François Chiantaretto

Cure, écriture et lecture : ce titre délimite déjà un lieu et une temporalité faite de longues années passées sur le divan. L’écriture clinique dessine, elle, un espace à part qui a ses règles, ses contraintes et son éthique. Elle a cette singularité, au travers des genres littéraires, d’être le témoin de l’avènement d’un sujet et de rendre compte d’une technique de transformation à l’œuvre par le biais d’une pensée qui prend forme chez l’analyste. Cette rencontre inédite…

         par Fabienne Sardas et Sabine Fos-Falque.

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2018/2 (n° 42)

Les Traumas de l’amour

Editorial

Premières lignes

« Apprenez ceci : n’aimez jamais éperdument, cela ne peut que vous mener à votre perte. Si ce n’est pas tout de suite, c’est plus tard. Le mieux c’est de ne jamais aimer personne ».  (La porte, Magda SZABO).

Cette phrase lancée par le personnage Emérence dans « la Porte » constitue une belle entrée en matière pour notre revue sur les Traumas de l’amour et invite à la réflexion…

         par Agnès Hussmann et Jean-Marie de Sinéty.

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2018/1 (n° 41)

L’éprouvé d’aimer

Editorial

Premières lignes

L’énigme du sexuel et la réalité psychique qui le sous-tend, convoquant avec puissance l’intérêt de tous et se jouant de tout, ne se réduisant jamais à l’acte qui en porte le nom, est à lui seul un champ universel d’exploration. Et pour tous les arts, pas seulement celui de la psychanalyse. Il ouvre bien naturellement sur la question de l’amour ou plus précisément sur l’éprouvé d’aimer. L’amour au…

         par Sabine Fos Falque et Vassiliki -Piyi Christopoulou.

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2017/2 (n° 40)

Dire et écouter le sexuel

Du sexuel 3

Editorial

Premières lignes

Il y a quelques temps un échange, avec Jean Libis, l’un de nos auteurs également président-adjoint de l’Association Internationale Gaston Bachelard, m’a permis de connaître cette peinture de Guido Reni, peintre du Vatican, dit Le Guide, au style baroque d’une sensualité élégante.Il y a eu évidence à ce que cette œuvre fasse support à notre trilogie sur le thème du sexuel. Car si « le style c’est l’homme »,… par Fabienne Sardas.

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2017/1 (n° 39)

De la bisexualité

Trilogie du sexuel

Editorial

Premières lignes

C’est à nouveau avec Sade que nous ouvrons ce deuxième tome de la trilogie sur le sexuel. A s’en approcher et comme tout ce qui touche à ce champ, le sens en est multiple et infini. A peine compris les mots quittent leur sens pour en prendre un autre. Ici on pourrait croire à une scène sexuelle alors qu’en filigrane peut s’entendre le désir d’avoir et d’être les deux sexes.En 1965, la France obtenait… par Fabienne Sardas, Jean-Marie de Sinéty.

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