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La poésie d’Isabelle Pinçon Membre du GIREP

Mais tout était calé au cou de la grande horloge mais les jours avançaient comme un petit soldat aux bras
cadencés mais l’ennui ressemblait aux oreilles tombantes de mon cocker mais votre voix ne chantait plus la javanaise mais nous étions engourdis de silence, 
oh si j’avais pu déterrer un os d’amour.