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L’utilisation du « jouer » en thérapie, pour des sujets en souffrance psychique, se fonde sur le constat que différentes formes de jeu se trouvent à l’origine du développement de la vie psychique.

D’autre part, l’utilisation du jeu permet de transformer les situations les plus douloureuses en situations « bonnes à symboliser » (Winnicott) ; selon cette perspective, les patients peuvent déployer en séance « les jeux potentiels restés en souffrance, qui n’ont pas pu être joués dans la prime enfance » (R. Roussillon) afin de transformer les expériences traumatiques en plaisir et de les intégrer dans la subjectivité.